Je possède une arme fantastique,
Plus puissante qu'un flingue, plus tranchante qu'une lame,
Son utilisation passe par l'amertume, les larmes et la déception,
Elle est de loin la plus violente.
Combinée avec une pincée de fierté et de prétention, une once d'incompréhension bornée, une mesure de bon-vouloir maladroit, un soupçon de sadisme enfoui et une poignée de convictions,
Elle peut vous sauver, les noyer,
Vous couler, les protéger.
Elle est mélange personnel,
Interprétation générale-isée.
Elle n'a pas cette même saveur sortie d'entre deux lèvres,
Que couchée sur le clavier.
Tantôt nocive, elle se veut aussi rassurante.
Pour tous.
Alliée à cette force intérieure, ce discernement et cet écho de puissance,
Elle fond, grince et abat.
Touché.
Mélangée à cette douce musique,
Ces quelques grammes à venir qui lui feront perdre sa pureté,
Et y confortera son manipulateur,
Elle devient source de calme, d'extériorisation.
Cette arme protège, à la manière de son géniteur,
Et détruit selon son bon vouloir.
On se plaira à l'étiqueter vaine et vicieuse,
Alors qu'elle place devant chaque yeux une vérité à laquelle on se refuse.
L'unique.
Elle est votre moyen de cracher, de déblatérer des horreurs et de pervertir,
Toujours sous voile d'acier.
Faibles lâches.
Cette arme débouche vos oreilles engluées par tant d'insignifiantes déjections orales,
De médisances et de faussetés volontairement naïves.
Cette arme est la lie de tous ces gens.
Elle vomit chacun de vous.
Douce et naïve incompréhension.
Le mot.
Plus puissante qu'un flingue, plus tranchante qu'une lame,
Son utilisation passe par l'amertume, les larmes et la déception,
Elle est de loin la plus violente.
Combinée avec une pincée de fierté et de prétention, une once d'incompréhension bornée, une mesure de bon-vouloir maladroit, un soupçon de sadisme enfoui et une poignée de convictions,
Elle peut vous sauver, les noyer,
Vous couler, les protéger.
Elle est mélange personnel,
Interprétation générale-isée.
Elle n'a pas cette même saveur sortie d'entre deux lèvres,
Que couchée sur le clavier.
Tantôt nocive, elle se veut aussi rassurante.
Pour tous.
Alliée à cette force intérieure, ce discernement et cet écho de puissance,
Elle fond, grince et abat.
Touché.
Mélangée à cette douce musique,
Ces quelques grammes à venir qui lui feront perdre sa pureté,
Et y confortera son manipulateur,
Elle devient source de calme, d'extériorisation.
Cette arme protège, à la manière de son géniteur,
Et détruit selon son bon vouloir.
On se plaira à l'étiqueter vaine et vicieuse,
Alors qu'elle place devant chaque yeux une vérité à laquelle on se refuse.
L'unique.
Elle est votre moyen de cracher, de déblatérer des horreurs et de pervertir,
Toujours sous voile d'acier.
Faibles lâches.
Cette arme débouche vos oreilles engluées par tant d'insignifiantes déjections orales,
De médisances et de faussetés volontairement naïves.
Cette arme est la lie de tous ces gens.
Elle vomit chacun de vous.
Douce et naïve incompréhension.
Le mot.