* Qu'est-ce qu'un dialogue ?
Un dialogue doit réunir minimum deux personnes qui :
-se connaîssent,
-s'aiment bien,
-ont du temps devant elles,
- ont des choses à dire,
- jouent de la cornemuse ou du cor anglais,
ou non.
Chacun est en mesure de mener un dialogue.
Un roux devrait même y'arriver, ça s'est déjà vu.
Une fois,
Y'a longtemps,
Je crois.
Qu'est-ce qu'un dialogue donc disais-je ?
Un dialogue, ce n'est rien d'autre qu'un monologue successif.
L'un des deux protagonnistes débite pendant un labs de temps plus ou moins court,
Ses soucis/joies/idées/potins/aventures actuelles à l'autre, qui hochera la tête en marmonant quelques "moui, oh, nan ?, ouch, hmm, j'peux t'prendre une clope ?".
En réalité, le récepteur des informations, derrière un nuage de fumée émergeant de la clope qu'il vous a taxé, n'attend qu'une brêche dans votre discours pour caser quelque chose qui ramène la conversation à lui.
Ainsi commence la deuxième phase, reprenez depuis le début en inversant les rôles, etc etc.
Je ne vous donne même pas d'exemple parce qu'avec un peu d'honnêteté et de réflexion, chacun de nous s'y reconnaîtra.
Ce qui fait que nous sommes condamnés à mener des bouts de réflexions orales, bien souvent innachevées.
Ceci expliquerait peut-être le succès de l'écriture confidente (journaux intimes, lettres, blogs...)
Rares sont les personnes qui ne sont pas régies par ce qui précède.
A vrai dire je ne crois pas en connaître.
Je pense que nous sommes tous plus ou moins menés par notre narcissisme, ou peut-être juste par le besoin de se sentir reconnu dans une société qui nous rejette ?
Muahahah,
A suivre. *
Un dialogue doit réunir minimum deux personnes qui :
-se connaîssent,
-s'aiment bien,
-ont du temps devant elles,
- ont des choses à dire,
- jouent de la cornemuse ou du cor anglais,
ou non.
Chacun est en mesure de mener un dialogue.
Un roux devrait même y'arriver, ça s'est déjà vu.
Une fois,
Y'a longtemps,
Je crois.
Qu'est-ce qu'un dialogue donc disais-je ?
Un dialogue, ce n'est rien d'autre qu'un monologue successif.
L'un des deux protagonnistes débite pendant un labs de temps plus ou moins court,
Ses soucis/joies/idées/potins/aventures actuelles à l'autre, qui hochera la tête en marmonant quelques "moui, oh, nan ?, ouch, hmm, j'peux t'prendre une clope ?".
En réalité, le récepteur des informations, derrière un nuage de fumée émergeant de la clope qu'il vous a taxé, n'attend qu'une brêche dans votre discours pour caser quelque chose qui ramène la conversation à lui.
Ainsi commence la deuxième phase, reprenez depuis le début en inversant les rôles, etc etc.
Je ne vous donne même pas d'exemple parce qu'avec un peu d'honnêteté et de réflexion, chacun de nous s'y reconnaîtra.
Ce qui fait que nous sommes condamnés à mener des bouts de réflexions orales, bien souvent innachevées.
Ceci expliquerait peut-être le succès de l'écriture confidente (journaux intimes, lettres, blogs...)
Rares sont les personnes qui ne sont pas régies par ce qui précède.
A vrai dire je ne crois pas en connaître.
Je pense que nous sommes tous plus ou moins menés par notre narcissisme, ou peut-être juste par le besoin de se sentir reconnu dans une société qui nous rejette ?
Muahahah,
A suivre. *