Alcoolique.
Le mot pourrait prêter à rire si il n'était plus que jamais si sérieux.
Un jour je me suis dis que, tout bourré de fautes que ce sera, je n'écrirai plus que saoul, pour cette folle inspiration qui naît des doigts dans cette situation.
Je ne le suis plus.
Pourtant j'écris, parlons d'envie ?!
Je me suis rendu compte avec le temps que si je n'avais pas peur des mots, je les taisais parfois pour d'obscures raisons.
D'un instant à l'autre nous ne pensons plus pareil,
Des agissements idem.
Être saoul à 17H donne une idée de ce qui à pu se passer la veille.
A d'autres, les souvenirs ayant fuis l'obscure zone du cerveau qui traite ce genre d'informations .
Je suis rassuré par ce flot de mots qui m'envahit toujours, alors que je pensais l'envie dépassée depuis longtemps.
Je revendiquais ne pas être lu à grandes bouffées froides,
Je m'aperçois que le regard extérieur plus que jamais m'indiffère.
Exemple de ce qui précède, n'y cherchez pas le rapport.
Je perds ceux qui m'entourent, il fut un temps où je disais "La vie est une fluctuation d'aimants à polarités changeantes" pour illustrer ce propos,
Oui j'ai dit beaucoup de conneries.
Certains mérités, d'autres regrettés.
Mots tabous non exprimés ici depuis que Belle rencontra Lurette ?
Boum.
Laura.
C'est drôle comme on a beau parler, c'est si facile de mettre un doigt sur chaque oreille.
Toujours est-il que je m'applique avec ferveur à perdre Lauriane si ce n'est plus subtilement, de la même façon.
C'est comme ça,
Ça le sera toujours.
C'est triste ?
Demandez-lui.
Demandez-leur.
De toutes façons c'est trop tard.
Un autre mot tabou ?
Boum.
Totoche, de chez qui je fus élégamment prié de sortir il y a peu.
Les macarons pour ses parents sont toujours au frigo, le billet pour l'essence dans ma poche.
Et on dira que c'est triste.
Gerbant oui.
Traitez moi encore de radin, je déclenche cette violence enfouie qu'on a tous.
Essayez.
[...]
Je n'ai pas peur de la suite des évènements, j'suis prêt à crever seul au fond d'une bouteille de pinard si il le faut.
Je ne vous retiendrai pas.
Pour moi, et pour vous.
Un dernier nom ?
Gildas.
"Il dit qu'il voit pas le rapport".
Comment peut-on changer autant ?
Du rire à la prétention,
De la joie aux pleurs.
Pourquoi en citer d'autres, c'est un travail personnel avant tout, une éjaculation non partagée si il le faut.
Ah tiens si, juste pour le plaisir.
Camille.
Fantas/que/me.
Si les mots criaient, les noms se taisaient.
Ils ont aussi leurs place ici.
C'est triste également de ne pouvoir s'entretenir avec sa mère.
Juste une incompréhension naïve, sans méchanceté.
Traitez-moi donc de gros con, ou de tout le reste, vous êtes bien beaux à l'ouvrir, comme à l'habitude.
Livrer tout sans ordre.
Gerber sur tout au fond.
Les gens ne lisent plus.
Oh, aucun rapport.
Au zef bondiou.
J'aime, au moins ça.
Je m'égare comme toujours, mais les gens s'y lovent.
Si il y a début de problème, il y a déjà fin, dans le sens où un problème n'a pas de grandeur à par entière.
Etre présent suffit largement.
Il y a le plus petit problème qu'on veut.
Rions ?
Alcoolique.
Le mot pourrait prêter à rire si il n'était plus que jamais si sérieux.
Je suis en passe de m'y baigner a mon tour.
Je n'ai pas peur.
J'en payerais le prix comme je l'ai déjà fait.
Ridicule ?
A vous de voir.
Sérieux ?
"Sur le plus haut trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul"
Moi le premier, et à déblatérer vous oubliez qu'on est sur le même.
Revenons à ces bons vieux mots bien aigris, qui se suffisent à eux-même.
Je n'ai pas peur non plus d'agir comme un con.
Il y a des fatalités.
Tout ceci se finira de toutes façons dans le sang, la haine et les pleurs.
Toujours.
Excusez-moi, pour avant, et pour ce qui est a venir.
Pas mieux à dire, ni à vous donner.
A prendre, mais surtout à laisser.
Le mot pourrait prêter à rire si il n'était plus que jamais si sérieux.
Un jour je me suis dis que, tout bourré de fautes que ce sera, je n'écrirai plus que saoul, pour cette folle inspiration qui naît des doigts dans cette situation.
Je ne le suis plus.
Pourtant j'écris, parlons d'envie ?!
Je me suis rendu compte avec le temps que si je n'avais pas peur des mots, je les taisais parfois pour d'obscures raisons.
D'un instant à l'autre nous ne pensons plus pareil,
Des agissements idem.
Être saoul à 17H donne une idée de ce qui à pu se passer la veille.
A d'autres, les souvenirs ayant fuis l'obscure zone du cerveau qui traite ce genre d'informations .
Je suis rassuré par ce flot de mots qui m'envahit toujours, alors que je pensais l'envie dépassée depuis longtemps.
Je revendiquais ne pas être lu à grandes bouffées froides,
Je m'aperçois que le regard extérieur plus que jamais m'indiffère.
Exemple de ce qui précède, n'y cherchez pas le rapport.
Je perds ceux qui m'entourent, il fut un temps où je disais "La vie est une fluctuation d'aimants à polarités changeantes" pour illustrer ce propos,
Oui j'ai dit beaucoup de conneries.
Certains mérités, d'autres regrettés.
Mots tabous non exprimés ici depuis que Belle rencontra Lurette ?
Boum.
Laura.
C'est drôle comme on a beau parler, c'est si facile de mettre un doigt sur chaque oreille.
Toujours est-il que je m'applique avec ferveur à perdre Lauriane si ce n'est plus subtilement, de la même façon.
C'est comme ça,
Ça le sera toujours.
C'est triste ?
Demandez-lui.
Demandez-leur.
De toutes façons c'est trop tard.
Un autre mot tabou ?
Boum.
Totoche, de chez qui je fus élégamment prié de sortir il y a peu.
Les macarons pour ses parents sont toujours au frigo, le billet pour l'essence dans ma poche.
Et on dira que c'est triste.
Gerbant oui.
Traitez moi encore de radin, je déclenche cette violence enfouie qu'on a tous.
Essayez.
[...]
Je n'ai pas peur de la suite des évènements, j'suis prêt à crever seul au fond d'une bouteille de pinard si il le faut.
Je ne vous retiendrai pas.
Pour moi, et pour vous.
Un dernier nom ?
Gildas.
"Il dit qu'il voit pas le rapport".
Comment peut-on changer autant ?
Du rire à la prétention,
De la joie aux pleurs.
Pourquoi en citer d'autres, c'est un travail personnel avant tout, une éjaculation non partagée si il le faut.
Ah tiens si, juste pour le plaisir.
Camille.
Fantas/que/me.
Si les mots criaient, les noms se taisaient.
Ils ont aussi leurs place ici.
C'est triste également de ne pouvoir s'entretenir avec sa mère.
Juste une incompréhension naïve, sans méchanceté.
Traitez-moi donc de gros con, ou de tout le reste, vous êtes bien beaux à l'ouvrir, comme à l'habitude.
Livrer tout sans ordre.
Gerber sur tout au fond.
Les gens ne lisent plus.
Oh, aucun rapport.
Au zef bondiou.
J'aime, au moins ça.
Je m'égare comme toujours, mais les gens s'y lovent.
Si il y a début de problème, il y a déjà fin, dans le sens où un problème n'a pas de grandeur à par entière.
Etre présent suffit largement.
Il y a le plus petit problème qu'on veut.
Rions ?
Alcoolique.
Le mot pourrait prêter à rire si il n'était plus que jamais si sérieux.
Je suis en passe de m'y baigner a mon tour.
Je n'ai pas peur.
J'en payerais le prix comme je l'ai déjà fait.
Ridicule ?
A vous de voir.
Sérieux ?
"Sur le plus haut trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul"
Moi le premier, et à déblatérer vous oubliez qu'on est sur le même.
Revenons à ces bons vieux mots bien aigris, qui se suffisent à eux-même.
Je n'ai pas peur non plus d'agir comme un con.
Il y a des fatalités.
Tout ceci se finira de toutes façons dans le sang, la haine et les pleurs.
Toujours.
Excusez-moi, pour avant, et pour ce qui est a venir.
Pas mieux à dire, ni à vous donner.
A prendre, mais surtout à laisser.