Okay Folks, j'ai pris une décision.
Je suis - jeune - homme sincère, avec mon entourage et avec moi même,
De surcroit j'aime énormément écrire.
J'ai essayé de me forcer à revomir mes mots sur le présent blog, mais je me dois de me l'avouer, la magie de l'endroit n'est plus, l'envie non plus.
Alors je me dis juste qu'il a fait son temps, c'est tout, et ch'uis pas plus triste pour autant.
C'est comme dire au revoir à un bon copain qui part faire sa vie ailleurs en fait.
Ainsi l'endroit gardera ma marque, et mes mots ne meurent pas vraiment.
"Alors excuse-moi vieux frère de ne plus t'honorer de mes crachins littéraires, mais il semblerait que j'aie perdu - définitivement - l'envie qu'on me lise suite à quelconques bagatelles d'un temps pas si lointain mais maintenant éradiqué.
Tu n'y est d'ailleurs pour rien, je dirais même que t'es plus intelligent que la majorité des humains qui sont passés par ici, tout simplement du fait de ton inactivité intellectuelle.
Ce qui bouffe l'homme, c'est la réflexion.
Tu es la représentation de mon évolution littéraire,
Tu m'as vu m'indigner, sourire, m'énerver, en état d'alcoolisation légère ou profonde, rire et rager, t'as du me voir triste ou mélancolique, nu ou presque, prétentieux, passionné, boutonneux et suant, inspiré, narcissique, me curer le nez et éternuer sur mon clavier, des fois tu ne comprenais rien à ce que ce petit bout d'homme venait cracher sur tes pages, mais tu l'acceptais comme tel.
Tu m'as aidé à me fonder par le mot, à grandir.
Je t'ai beaucoup chouchouté tu sais, m'appliquant à que tu te fasses le porteur de mes couleurs, de mes humeurs,
De musiques et de photos.
De mois en mois j'étais plus fier de toi et des mots que je te confiais.
Et rares sont les choses qui me tinrent à coeur si longtemps.
Alors aujourd'hui que je te quitte, un petit pincement au coeur malgré tout, je te rend un dernier hommage :
Tu porteras pour la première fois de ta vie informatique et jusqu'à ton annhilation,
L'ensemble de l'oeuvre que j'ai constitué à tes côtés, que tu gardais caché dans un coin de mémoire et que tout le monde pensait supprimé depuis longtemps.
Ca nous évoquera pas mal de souvenirs ensemble, et chacun pourra apprécier mes évolutions linguistiques.
Je n'en ai pas censuré, tout y est,
Totalité, sincérité,
Pour la bagatelle totale de quand même 124 articles répartis sur 25 pages.
Qui l'eut cru ?"
Il ne me reste qu'à refermer mon livre, dont tu fus les pages,
Merci d'avoir fait de moi ce que je suis aujourd'hui.
Je suis - jeune - homme sincère, avec mon entourage et avec moi même,
De surcroit j'aime énormément écrire.
J'ai essayé de me forcer à revomir mes mots sur le présent blog, mais je me dois de me l'avouer, la magie de l'endroit n'est plus, l'envie non plus.
Alors je me dis juste qu'il a fait son temps, c'est tout, et ch'uis pas plus triste pour autant.
C'est comme dire au revoir à un bon copain qui part faire sa vie ailleurs en fait.
Ainsi l'endroit gardera ma marque, et mes mots ne meurent pas vraiment.
"Alors excuse-moi vieux frère de ne plus t'honorer de mes crachins littéraires, mais il semblerait que j'aie perdu - définitivement - l'envie qu'on me lise suite à quelconques bagatelles d'un temps pas si lointain mais maintenant éradiqué.
Tu n'y est d'ailleurs pour rien, je dirais même que t'es plus intelligent que la majorité des humains qui sont passés par ici, tout simplement du fait de ton inactivité intellectuelle.
Ce qui bouffe l'homme, c'est la réflexion.
Tu es la représentation de mon évolution littéraire,
Tu m'as vu m'indigner, sourire, m'énerver, en état d'alcoolisation légère ou profonde, rire et rager, t'as du me voir triste ou mélancolique, nu ou presque, prétentieux, passionné, boutonneux et suant, inspiré, narcissique, me curer le nez et éternuer sur mon clavier, des fois tu ne comprenais rien à ce que ce petit bout d'homme venait cracher sur tes pages, mais tu l'acceptais comme tel.
Tu m'as aidé à me fonder par le mot, à grandir.
Je t'ai beaucoup chouchouté tu sais, m'appliquant à que tu te fasses le porteur de mes couleurs, de mes humeurs,
De musiques et de photos.
De mois en mois j'étais plus fier de toi et des mots que je te confiais.
Et rares sont les choses qui me tinrent à coeur si longtemps.
Alors aujourd'hui que je te quitte, un petit pincement au coeur malgré tout, je te rend un dernier hommage :
Tu porteras pour la première fois de ta vie informatique et jusqu'à ton annhilation,
L'ensemble de l'oeuvre que j'ai constitué à tes côtés, que tu gardais caché dans un coin de mémoire et que tout le monde pensait supprimé depuis longtemps.
Ca nous évoquera pas mal de souvenirs ensemble, et chacun pourra apprécier mes évolutions linguistiques.
Je n'en ai pas censuré, tout y est,
Totalité, sincérité,
Pour la bagatelle totale de quand même 124 articles répartis sur 25 pages.
Qui l'eut cru ?"
Il ne me reste qu'à refermer mon livre, dont tu fus les pages,
Merci d'avoir fait de moi ce que je suis aujourd'hui.
Cyriel