« Ça me fait plaisir de te revoir »
Voilà qui sort du quotidien,
J'aime bien.
"Oh regarde : une bite qui vole !"
cyriel
Seul sur son caillou, l'homme à la clope creuse son trou.
Mercredi 16 juin 2010 à 21:12
Soleil, toi qui inonda Einstein, Bach et Voltaire de ta lumière : immole moi sur la place publique !
Mercredi 2 juin 2010 à 15:33
Un feu intérieur brûle-t-il continuellement ?
Peut-on sans crier gare se permettre de coucher quelques mots sans même prendre la peine d'en avoir froncièrement envie, froncièrement besoin ?
Avoir d'ailleurs abandonné la langue au point d'écrire "foncièrement" "froncièrement", est-ce de l'ignorance ?
Où réside la facilité, entre passer sa vie à décrocher des exams sans lever autre chose que sa zigounette sans être même capable de discuter avec ses géniteurs ?
Et pourquoi continuer à poser des questions bidons alors même qu'on pense en avoir les réponses ?
Essayons nous à quelques essais une goutte plus joyeux qu'aux derniers écrits :
Une tasse de café vide, une cigarette qui se consume et sa belle qui bosse à côté semblent toujours constituer le pilier d'un bonheur candide et naïf.
Même si la naïveté a tendance à perdre de sa superbe paradoxalement au siège des années.
Putain 20 ans,
Depuis 18 jours, foutre !
Des souvenirs qui s'effacent, d'autres qui naîtront demain.
J'en suis sûr maintenant, certaines maladies vous font perdre la passion, la patience,
Et cette page n'a d'autre attrait que le sauvetage perpétuel.
En fait même si les mois passant m'ont redonnés goût au levé du matin,
Je m'aperçois qu'écrire me rend plutôt triste et mélancolique à présent, et voici pourquoi je ne m'y adonne plus - pour le moment ?
Pour preuve le simple fait qu'un paragraphe plus haut je m'essayais au "plus joyeux", tentant une approche "comme à l'époque, l'époque où ce blog amenait à moi de superbes créatures" et que trois lignes plus tard c'était déjà le poids des années appuyé par un "putain-foutre" et une pseudo-réflexion sur la naïveté qui pesait sur mon dos à la courbe disgracieuse.
Alors ourquoi ne pas parler de ma seconde année à la fac, de mon passage en troisième année,
Du projet de m'installer avec Manon l'année prochaine,
De travailler dans le domaine du jeu vidéo,
Du fait que j'ai compris certaines choses sur mon enfance, sur cette impossibilité de dire "je t'aime" ces quelques années qui suivirent mon premier rapport sexuel,
Du fait que mon problème avec l'alcool n'est pas toutafé résolu,
De la tournée déjà mémorable avant même qu'elle ait lieu de trois semaines qui se profile avec Hou-Ha*, un groupe qui slapet',
Des gamins que je surveille, épaule et conseille toute la semaine en vomissant les parents laxistes ou les protagonistes mous de certains établissements,
Que j'aime mon train de vie déluré - inexistant, passer du temps au cabanon, à la campagne, dans le jardin ou sur mon ordi,
Pourquoi ne plus raconter ma vie ?
Bordel, où est passée l'envie ?
Cet article, en définitive, me semble bien chiant.
Ecrire des trucs chiants, ça pue.
J'aime pas puer.
Putain ça c'est de la réflexion Bobby...
"Sperme" s'écrit avec un "e" à la fin, "e" comme "élégance"."
Peut-on sans crier gare se permettre de coucher quelques mots sans même prendre la peine d'en avoir froncièrement envie, froncièrement besoin ?
Avoir d'ailleurs abandonné la langue au point d'écrire "foncièrement" "froncièrement", est-ce de l'ignorance ?
Où réside la facilité, entre passer sa vie à décrocher des exams sans lever autre chose que sa zigounette sans être même capable de discuter avec ses géniteurs ?
Et pourquoi continuer à poser des questions bidons alors même qu'on pense en avoir les réponses ?
Essayons nous à quelques essais une goutte plus joyeux qu'aux derniers écrits :
Une tasse de café vide, une cigarette qui se consume et sa belle qui bosse à côté semblent toujours constituer le pilier d'un bonheur candide et naïf.
Même si la naïveté a tendance à perdre de sa superbe paradoxalement au siège des années.
Putain 20 ans,
Depuis 18 jours, foutre !
Des souvenirs qui s'effacent, d'autres qui naîtront demain.
J'en suis sûr maintenant, certaines maladies vous font perdre la passion, la patience,
Et cette page n'a d'autre attrait que le sauvetage perpétuel.
En fait même si les mois passant m'ont redonnés goût au levé du matin,
Je m'aperçois qu'écrire me rend plutôt triste et mélancolique à présent, et voici pourquoi je ne m'y adonne plus - pour le moment ?
Pour preuve le simple fait qu'un paragraphe plus haut je m'essayais au "plus joyeux", tentant une approche "comme à l'époque, l'époque où ce blog amenait à moi de superbes créatures" et que trois lignes plus tard c'était déjà le poids des années appuyé par un "putain-foutre" et une pseudo-réflexion sur la naïveté qui pesait sur mon dos à la courbe disgracieuse.
Alors ourquoi ne pas parler de ma seconde année à la fac, de mon passage en troisième année,
Du projet de m'installer avec Manon l'année prochaine,
De travailler dans le domaine du jeu vidéo,
Du fait que j'ai compris certaines choses sur mon enfance, sur cette impossibilité de dire "je t'aime" ces quelques années qui suivirent mon premier rapport sexuel,
Du fait que mon problème avec l'alcool n'est pas toutafé résolu,
De la tournée déjà mémorable avant même qu'elle ait lieu de trois semaines qui se profile avec Hou-Ha*, un groupe qui slapet',
Des gamins que je surveille, épaule et conseille toute la semaine en vomissant les parents laxistes ou les protagonistes mous de certains établissements,
Que j'aime mon train de vie déluré - inexistant, passer du temps au cabanon, à la campagne, dans le jardin ou sur mon ordi,
Pourquoi ne plus raconter ma vie ?
Bordel, où est passée l'envie ?
Cet article, en définitive, me semble bien chiant.
Ecrire des trucs chiants, ça pue.
J'aime pas puer.
Putain ça c'est de la réflexion Bobby...
"Sperme" s'écrit avec un "e" à la fin, "e" comme "élégance"."