* "[Je suis] un être indélicat, égoïste et vulgaire. [Elle] ajouterais même presque méchant. "
Ces mots, plutôt que de me blesser, à vrai dire me rassurent, je l'avoue.
Je ne nie pas mon étonnement, venant d'un être que je m'évertuais à protéger verbalement l'après-midi même,
Mais ils sont une bonne façon d'affirmer tout fort ce que beaucoup pensent tout bas.
Pas de merci, juste un bravo pour le déclic.
Je suis également un rustre car non, je ne peux pas comprendre que certains mots puissent faire mal.
Je pense juste que chaque mot peut-être interprété différement.
A chacun de trouver la signification qui lui plait.
Je dois dire que ça fait tout drôle de recevoir ça, que j'ai dû relire par deux fois le message et vérifier l'expéditeur.
Mais surtout plus que les mots, le mot m'effraie, par récurrence : Pourquoi ?
Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?
Ceux qui me connaissent un minimum, qui il fut un temps écoutèrent ce que j'avais à dire savent que "pourquoi" n'est pas courant à mon vocabulaire en terme de réflexion constante.
[Il est fort probable que ceux qui me connaissent un minimum ne sachent même pas cela, car partout où j'ai tenté d'exprimer cette idée, je ne reçus qu'incompréhension et inertie de l'esprit]
Non je parle là du "pourquoi" solo, celui qui revient régulièrement depuis quelques mois,
Celui qui me manque, qui me fit perdre en peu de temps beaucoup de monde,
Celui que je ne possède pas encore aujourd'hui pour certains cas.
Mais ceci est une parenthèse parmi d'autres.
A l'heure où j'ai reçu ces mots donc, le "pourquoi" s'est reformé lentement.
Non, pas celle-là, pas cette fois.
Alors j'ai quand même appelé ["Et au cas où tu aurais l'intention de m'appeler, je ne décrocherai pas."] pour laisser un message, parce que je suis têtu dans les choses qui se soustraient à ma pensée.
J'aime à avoir le contrôle.
Si celui-ci m'échappe, le résultat, vous le connaissez Mesdemoiselles.
J'ai aussi écrit, parce que c'est encore ma plume qui me satisfait au mieux.
J'ai eu ma réponse un paquet de minutes plus tard, j'ai eu mon "pourquoi".
Un "pourquoi" bien amer, signifiant sûrement la remise en cause d'un règne humoristique vieux de quelques années seulement.
Rien à voir avec toutes les autres alors.
Je puis blesser par une série de mots mal ajustés donc, même quand mon intention est exactement le contraire.
Ca s'est déjà vu il y a peu.
Qui blâmer ?
Un peu vous, un peu moi sûrement.
On pourrait dire si ça vous rassure qu'on est trop différents pour bien co-exister.
Un peu facile, mais vous préférez la facilité n'est-ce pas ?
Moi aussi en un sens.
Je ne m'excuserai pas, tel que je m'évertue à l'expliquer à Prisca depuis quelques minutes [c'est drôle comme certaines situations incitent certaines personnes à communiquer],
Parce que ce ne sont pas mes préceptes que de m'excuser.
Ne perdez malgré tout pas à l'esprit que je protège à ma façon les gens qui me tiennent à coeur.
L'être indélicat, égoïste et vulgaire voire méchant que je suis se réjouit bien que les choses soient claires :
Plus d'excuses, vous savez quoi je suis.
Ou à peu près. *
Ces mots, plutôt que de me blesser, à vrai dire me rassurent, je l'avoue.
Je ne nie pas mon étonnement, venant d'un être que je m'évertuais à protéger verbalement l'après-midi même,
Mais ils sont une bonne façon d'affirmer tout fort ce que beaucoup pensent tout bas.
Pas de merci, juste un bravo pour le déclic.
Je suis également un rustre car non, je ne peux pas comprendre que certains mots puissent faire mal.
Je pense juste que chaque mot peut-être interprété différement.
A chacun de trouver la signification qui lui plait.
Je dois dire que ça fait tout drôle de recevoir ça, que j'ai dû relire par deux fois le message et vérifier l'expéditeur.
Mais surtout plus que les mots, le mot m'effraie, par récurrence : Pourquoi ?
Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?
Ceux qui me connaissent un minimum, qui il fut un temps écoutèrent ce que j'avais à dire savent que "pourquoi" n'est pas courant à mon vocabulaire en terme de réflexion constante.
[Il est fort probable que ceux qui me connaissent un minimum ne sachent même pas cela, car partout où j'ai tenté d'exprimer cette idée, je ne reçus qu'incompréhension et inertie de l'esprit]
Non je parle là du "pourquoi" solo, celui qui revient régulièrement depuis quelques mois,
Celui qui me manque, qui me fit perdre en peu de temps beaucoup de monde,
Celui que je ne possède pas encore aujourd'hui pour certains cas.
Mais ceci est une parenthèse parmi d'autres.
A l'heure où j'ai reçu ces mots donc, le "pourquoi" s'est reformé lentement.
Non, pas celle-là, pas cette fois.
Alors j'ai quand même appelé ["Et au cas où tu aurais l'intention de m'appeler, je ne décrocherai pas."] pour laisser un message, parce que je suis têtu dans les choses qui se soustraient à ma pensée.
J'aime à avoir le contrôle.
Si celui-ci m'échappe, le résultat, vous le connaissez Mesdemoiselles.
J'ai aussi écrit, parce que c'est encore ma plume qui me satisfait au mieux.
J'ai eu ma réponse un paquet de minutes plus tard, j'ai eu mon "pourquoi".
Un "pourquoi" bien amer, signifiant sûrement la remise en cause d'un règne humoristique vieux de quelques années seulement.
Rien à voir avec toutes les autres alors.
Je puis blesser par une série de mots mal ajustés donc, même quand mon intention est exactement le contraire.
Ca s'est déjà vu il y a peu.
Qui blâmer ?
Un peu vous, un peu moi sûrement.
On pourrait dire si ça vous rassure qu'on est trop différents pour bien co-exister.
Un peu facile, mais vous préférez la facilité n'est-ce pas ?
Moi aussi en un sens.
Je ne m'excuserai pas, tel que je m'évertue à l'expliquer à Prisca depuis quelques minutes [c'est drôle comme certaines situations incitent certaines personnes à communiquer],
Parce que ce ne sont pas mes préceptes que de m'excuser.
Ne perdez malgré tout pas à l'esprit que je protège à ma façon les gens qui me tiennent à coeur.
L'être indélicat, égoïste et vulgaire voire méchant que je suis se réjouit bien que les choses soient claires :
Plus d'excuses, vous savez quoi je suis.
Ou à peu près. *
Je m'y attendais presque à cet article. C'est idiot, hein. Malgré tout, je suis contente que ça t'ai fait réagir. Comme je te l'ai expliqué dans mon mail, je ne m'attendais pas à un "Condoléancesc'estvraimentterriblemaistusaissituasbesointupeuxm'enparler", loin de là. Mais j'ai encore une fois la preuve que tu n'es pas un être délicat. Ce qui ne veut pas dire que je ne t'aime pas.
Je n'ai pas vraiment été blessée, non. Mais en colère. Je sais que ça ne te touche pas. Je ne te demandais rien, pas de consolation, pas de pitié ou de compassion. Juste... du respect. Je crois que c'est le mot. D'éviter de ce genre de commentaire. Il y a des situations lors desquelles il vaut mieux d'abstenir.
Tu me connais, en plus (je crois...). Tu sais parfaitement que je suis une petite fleur fragile, un peu niaise, sensible et qui doute d'elle. Je pense que tu étais conscient que tes mots pouvaient me blesser. En d'autres moments, cela m'aurait sûrement fait sourire (quoique c'était vraiment gore, à mon avis) mais là... tu m'as dégoûtée.
Enfin je m'en remettrai. Je sais que tu voulais me changer les idées. Me faire rire. Mais c'était raté. Je ne vais pas piquer ma crise.
J'ai droit à mon brugnion ?