Lundi 23 juin 2008 à 11:45

Destruction totale - 33H.
C'est fou ce que je suis attaché à ce cimetière informatique,
Comme quoi...

Bon, en bref & vrac :
- le Bac, c'est faaait, je vous tiens au courant que nous puissions rire un petit peu ensemble,
- les fêtes qui en résultent sont dignes du travail que nous avons fournis au-dit bac,
- à propos de fêtes, celle de la musique s'est déroulée sans que personne ne décide de m'ouvrir l'arcade, merci aux Mind's Passenger*, aux Perfect Stranger* & à la sœur d'Etienne de m'avoir fait triquer comme ça,
- je suis dans ma période "poils-partout-sur-la-gueule", j'ai toujours les cheveux gras, la clope à la bouche, les tétons poilus, le mot à l'oreille et la main sur la queue,
- le temps passe encore et toujours, il n'est plus même dénombrable, le tout n'étant plus de le prendre comme fatalité mais comme allié,
- j'ai pris du bide, catégorie beaucoup, oubliez le jeune homme boutonneux musclé des trois années précédentes,
- Lau tient plutôt bien le coup, ou vice-versa,
- je suis majeur, ne lève plus que rarement le doigt du même nom, passe à l'université,
- je vis.

[...]

C'est peu mais ça occupe.



Bambi Kino* marche bien,
l'aventure continue par conséquent l'année prochaine.



Lundi 24 mars 2008 à 20:46

Le monde fonctionne au chantage, et c'est sous la seule menace de voir effacer trois années de ma vie que mon clavier recliquette ici.
Et pourtant, s'il suffisait d'oublier un fait, un lieu ou un être pour qu'il disparaisse, ça se saurait.
J'voulais juste poster un article vide ou presque, histoire de garder les choses comme elles sont,
Mais comme dirait l'autre, cette facilité ne me ressemble pas.
Quelques mots de plus ne devraient faire de mal à personne.

Alors j'me retrouve comme un con, lettres sous les doigts, terrifié par un talent qui aurait pu s'échapper pendant ces quelques mois de repos, avec pour seule peur de ne plus savoir faire, de ne plus pouvoir me surpasser.
C'est un jeu délicat que le retour aux vieux démons, c'est une leçon, un exercice de tous les jours,
Chacun s'y attèle pourtant, avec un certain plaisir semble-t-il.
On ne sait plus se coucher la tête vide, pour cause trop de saloperies pointées sur le cerveau.
Mais c'est là bel et bien un soucis d'actualité et non personnel.

Mon entourage se dévoile peu à peu, le monde semble de moins en moins innocent,
Plus précisément il semblerait que chacun soit coupable.
Mon crime à moi serait de perdre progressivement l'enfant qui calait son cul boutonneux dans mes pantalons crades ,
La naïveté qui l'accompagnait se faisant peu à peu la malle à ses côtés.

Parfois cracher ici quelques mots à la gueule des masochistes qui s'y lovent me manque.
La plupart du temps la leçon est néanmoins restée bien imprimée sous mes ongles :
Who cares ?

Partagé entre un cri d'indignation généré par tant d'incompréhension, de bêtise et de lâcheté autour du moi,
Et un semi-sourire résultant de ces vénérés mots qui naissent toujours en moi,
Je ne fixe plus d'autres règles que celle d'être parfaitement tranquille,
A mes côtés ceux qui veulent partager l'expérience, à qui je lègue allègrement un coin de carapace.
On y retrouvera les sempiternels habitués - où du moins se plaira-t-on à le croire - et une nouvelle venue, sortie de nul part, qui semble se plaire à m'écouter cracher mon fiel et descendre mes bouteilles.
La fluctuation du temps, c'est juste des centaines d'aimants à polarités changeantes.

Je m'étonne toujours de cette manie naturelle d'écrire à la rallonge.
Ai-je tant besoin que ça de livrer des réflexions somme toute inlassablement classiques,
Ou prends-je juste mon pied à reformer des phrases composées de mots, de sons et de lettres ?

Gagner en maturité ne rend pas moins con, bien au contraire.
L'avenir ne me fait pas peur, mais je me passerais bien de devenir quelqu'un d'autre.
Vieillir est une étape irréversible, puisque la combattre est inutile, on peut toujours essayer de la transformer en une aventure nouvelle et instructive.
Je m'attèle à rester moi, continuer à dire à qui veut l'entendre que je me fous pas mal de ce qu'on peut bien dire,
A clamer bien fort que le monde serait plus heureux avec une sodomie matinale quotidienne,
A me foutre ouvertement de la gueule de ceux qui travaillent pour avoir les mêmes notes que moi au bac,
A boire mon café en respirant une cigarette roulée à la va-vite, mais toujours avec un filtre,
A combattre des boutons invincibles,
A roter, à péter, me curer le nez et être grossier,
A être vrai, au maximum,
A rire, surtout et inlassablement.

J'ai la tête remplie de booms, mes doigts glissent sur le manche de mon violoncelle,
Produisent un son du plus bel effet.
J'ai le nez qui saigne et m'en tamponne pas mal, vous en serez quittes pour une photo sans aucune concordance avec sa légende, qui elle résonne inlassablement dans ma tête.
Je marche, et ne m'arrêterai pas.
Personne n'est irremplaçable, et chaque mot compte.
On s'rappelle dans trois mois.


Je vais foutrement bien.


Dimanche 13 janvier 2008 à 16:55

Okay Folks, j'ai pris une décision.

Je suis - jeune - homme sincère, avec mon entourage et avec moi même,
De surcroit j'aime énormément écrire.
J'ai essayé de me forcer à revomir mes mots sur le présent blog, mais je me dois de me l'avouer, la magie de l'endroit n'est plus, l'envie non plus.
Alors je me dis juste qu'il a fait son temps, c'est tout, et ch'uis pas plus triste pour autant.
C'est comme dire au revoir à un bon copain qui part faire sa vie ailleurs en fait.
Ainsi l'endroit gardera ma marque, et mes mots ne meurent pas vraiment.

"Alors excuse-moi vieux frère de ne plus t'honorer de mes crachins littéraires, mais il semblerait que j'aie perdu - définitivement - l'envie qu'on me lise suite à quelconques bagatelles d'un temps pas si lointain mais maintenant éradiqué.
Tu n'y est d'ailleurs pour rien, je dirais même que t'es plus intelligent que la majorité des humains qui sont passés par ici, tout simplement du fait de ton inactivité intellectuelle.
Ce qui bouffe l'homme, c'est la réflexion.
Tu es la représentation de mon évolution littéraire,
Tu m'as vu m'indigner, sourire, m'énerver, en état d'alcoolisation légère ou profonde, rire et rager, t'as du me voir triste ou mélancolique, nu ou presque, prétentieux, passionné, boutonneux et suant, inspiré, narcissique, me curer le nez et éternuer sur mon clavier, des fois tu ne comprenais rien à ce que ce petit bout d'homme venait cracher sur tes pages, mais tu l'acceptais comme tel.
Tu m'as aidé à me fonder par le mot, à grandir.

Je t'ai beaucoup chouchouté tu sais, m'appliquant à que tu te fasses le porteur de mes couleurs, de mes humeurs,
De musiques et de photos.
De mois en mois j'étais plus fier de toi et des mots que je te confiais.
Et rares sont les choses qui me tinrent à coeur si longtemps.

Alors aujourd'hui que je te quitte, un petit pincement au coeur malgré tout, je te rend un dernier hommage :
Tu porteras pour la première fois de ta vie informatique et jusqu'à ton annhilation,
L'ensemble de l'oeuvre que j'ai constitué à tes côtés, que tu gardais caché dans un coin de mémoire et que tout le monde pensait supprimé depuis longtemps.
Ca nous évoquera pas mal de souvenirs ensemble, et chacun pourra apprécier mes évolutions linguistiques.
Je n'en ai pas censuré, tout y est,
Totalité, sincérité,
Pour la bagatelle totale de quand même 124 articles répartis sur 25 pages.
Qui l'eut cru ?"



Il ne me reste qu'à refermer mon livre, dont tu fus les pages,
Merci d'avoir fait de moi ce que je suis aujourd'hui.



Cyriel

Jeudi 10 janvier 2008 à 22:25

¤ Des personnages - très - attachants et fort différents,
 Un scénario fort bien ficelé,
Cette envie qui vous bouffe les doigts de voir le prochain épisode, tout de suite,
Voire d'attendre en vous paluchant la saison deux.

Bref, je ne peux que vous conseiller Skins, petite merveille de série Anglaise, et en VOST s'il vous plait !

On se retrouve transporté par le charisme de chacun,
Dans un monde, certes trop réel pour être vrai,
Mais après tout, on s'en fout, parce que c'est juste beau.
Là dedans ça boit, ça fume, ça vomit, c'est jeune, c'est con, c'est horrible de bassesse, ça baise dans tous les coins.
Bon c'est aussi bourré d'amour, c'est très cul-cul mais ça boost le scénario, pis c'est pas si laid que ça.

C'est juste...transportant.
Je manque rarement de mots, pas que je sois "totalement estomaqué par la grandiosité de cette série",
Mais plus parce que je ne crois pas avoir envie d'en dire plus.
Notez que je fais rarement de la pub, surtout vu l'état de mon blog en ce moment...
Alors foncez !

Pour ma part j'ai des - légers - petits papillons dans le ventre,
J'ai envie de boire, fumer, voir mes potes se mettre sur la gueule à grand coup de rires, tout en regardant tout ça du haut de mon nuage, ma nana sous le bras.
C'est très con, mais ça marche. ¤



--->            SKINS             <---

Mardi 8 janvier 2008 à 22:08

¤ Bon, j'ai voulu faire le fier en revenant le jour du passage en 2008, mais il s'avère que :
- soit j'ai rien à vous dire,
- soit j'ai la flemme de vous raconter,
- soit j'ai pas envie de partager avec vous.

A croire que j'aurais p'tet jamais dû m'arrêter,
Ou alors que ça fait longtemps que j'aurais dû le faire.

Brephe pour le moment, pas la peine de passer tous les soirs et de baver sur votre écran, y'a plus rien ici que les vestiges d'une plume inspirée,
Et les effluves d'un esprit présentement baillonné par la désagréable impression que de deux choses l'une :
-soit il existe des êtres dépourvus d'intelligence, et qu'on les croise tous les jours,
-soit je ne sais pas communiquer avec l'extérieur, j'en suis glacé.

J'me comprend, au final c'est bien le principal. ¤

Mardi 1er janvier 2008 à 19:09



¤ Je m'appelle Cyriel,
Nous sommes présentement en 2008,
Ma plume est ma Maîtresse, immortelle,
Je suis un être vulgaire, à la morale et aux moeurs contestables, indélicat, franc, narcissique voire prétentieux.

Considérez ce retour comme un - rare - cadeau de bonne année,
Que ceux qui aiment à me lire s'en réjouissent,
Et que ceux qui en sont incapables suffoquent sous le poids de leur ignorance.

Cärpë !  ¤

Vendredi 14 décembre 2007 à 22:13

* Fermeture du blog,
Plus aucune envie d'écrire pour qui que ce soit. *


Jeudi 13 décembre 2007 à 12:03

* Me voilà appaisé.
Hier soir, après une fureur passagère, je suis monté, me suis assis à mon bureau, me suis roulé une clope, me suis sorti du papier et un stylo,
Et j'ai écrit, jusque tard.
Ce texte était personnel et destiné à mon "futur moi", mais à la réflexion, j'ai décidé de te faire partager mes dernières pensées, cela servira d'explication également aux "autres" un tant soit peu interessés, car c'est bien  un moindre mal.
Il s'agit du texte original, j'ai uniquement supprimé quelques mots qui ne regardaient que nous. *




Mercredi 13 décembre 2007                 0H47

 
    Il est tard, comme chaque fois que je prends la plume. J'ai cherché assez longtemps de la musique triste à mettre en fond sonore, genre séparation, avec six mois de retard. A la bourre le mec, un peu.
    Quel est le but du papier ? L'extériorisation, le souvenir ? Les deux sûrement. Je ne sais pourquoi, mais je sais comment. Je sais un peu donc. Sais-je tout ? Je refume au beau milieu de ma chambre, comme à l'époque, la clope repose dans le fond du porte-encent-dragon (cadeau de nos un an ?!). C'est finalement la compile-Noêl 2006 d'Audrey qui accompagne l'encre ce soir. Bon choix. Merci.
    L'extériorisation est en cours, qu'en est-il du souvenir ? Je suis un anti-sentimental, dates aproximatives donc : il y a huit mois, rupture officielle en de bons termes, [...], retour de Montpellier, changement d'état d'esprit, engueulades incomprises/éhensibles, crescendo, puis elle rêve, on monte, on redescend, haut-bas, bas, bas, touché-coulé ce soir. Coup de hache final. Je l'ai appelé Dimanche, le besoin de mettre les choses au clair face à face très bientôt, encore tant d'efforts de bonne volonté, enchaînement sur un repas utopique remballé, et ce soir, grand vide. Pas de haine en fait en comparaison avec les mois précédents, juste un grand ras-la-coupe-au-bol : déployer autant de bonne volonté à arranger une situation (ce qui ne me resemble déjà guerre), et de surcroit en vain semble avoir eu raison de mon bon sens. Juste marre, et tant pis pour ces satanés futurs souvenirs, si chacune de mes relations doit se terminer en bain de sang  coaguleux, alors ainsi soit-il.
    J'y ai cru, j'ai cru que je pourrais me déroguer à vos règles de merde. Et bah non, mais ça je le sait au fond de moi depuis quelques mois. On a joué, pis on a perdu, c'est tout.
    J'avais tant à te dire en face, a t'expliquer, j'avais tant mit en oeuvre pour le faire. Mais on ne découpe pas un gigot irradié avec une clef à molette ; quand un obèse progresse dans un couloir étroit, la plus fine des fleurs ne peut aller dans l'autre sens. Nous avons chacun joué ces deux rôles, puis avons échangé. Seuls les couleurs, les sons et les odeurs étaient différentes.
    Soit tu ne sauras jamais ce qu'il fallait que je te dise (et vice-versa), soit c'est pour un jour indéterminé. Peut-être quand mon cancer se sera déclaré pourra-t-on prendre nos couilles dans nos mains et nous bouger le cul, dans l'urgence. C'est la notion de parler en face qui me manque, l'une de nos erreures étant de nature sociétaire : internet et les textos prenant à présent des bouts de vie à chacun, oubliant que le dialogue passe avant tout par l'expression du visage, le ton de la voix et la gestuelle.
    Le fait est que chaque instant où je t'avais à mon bras, j'étais froncièrement fier que tu sois là. Il m'a juste fallut - trop - de temps pour m'en rendre compte.
    Dans un film, la lettre est lue en voix off, le héros l'écrit en trois minutes, le temps de quelques accords sur-médiatisés et le chef des effets spéciaux a parsemé le torchon pondu par ce dernier (qui écrit très mal) de gouttes d'eau savament disposées, parce qu'il a beaucoup pleuré le pauvre petit chat. La réalité est tout autre : je reçois dans la gueule toute la fumée de ma clope, il fait froid parce que ma fenêtre est ouverte, le CD en est à sa onzième chanson et si je devais pleurer, ce serai sur la classique bêtise humaine dont tout le monde parle mais que personne ne comprend plutôt que sur la perte d'un être "cher" (tout s'achète aujourd'hui).
    C'est peut-être ma mufflerie, secondée par ma non-classe et mon anti-romantisme qui parle, mais tant pis, je suis capable de - rire de - tout, à commencer par mes propres mots, c'est ce qui me rappelle que je suis vivant.
    La preuve en mot/nicotine, me voilà parfaitement serein, un semi-sourire aux lèvres, que j'ai gercées. Seule subsiste cette sensation que tout n'est pas dit, et que tout ne le sera jamais. Mais pour le coup, je me permet de décliner allègrement toute responsabilité, la mélancolie me rendra visite un soir de temps en temps sûrement.
    J'ai fait des erreures, je les aurait toutes reconnues et assumées, et d'autres encore peut-être si j'en avait eu le temps. Mais sur le dernier côté du Rubicube qu'est notre histoire, j'ai neuf faces de même couleur, cela je le sait, et m'en félicite.
    Ainsi je ne taxerai plus de crédit en texto à mes camarades, ainsi je peux m'épanouire en toute bonne conscience, ainsi se termine - provisoirement ?! - notre histoire, l'histoire de la belle blonde et du gros dégueulasse, l'histoire qui fut nôtre, qui fut mienne. Et si le regret est une fine cigarette et le souvenir tout le goudron contenu dans un paquet de tabac, alors j'écrase un dernier mégot et refumerai demain (apprécie la métaphore emo, futur moi).
    J'aurais aussi pu publier des photos de toi "génantes" et lancer des saloperies dans ton dos, noyer mon pseudo-chagrin dans la haine la plus totale en essayant de t'en mettre le maximum dans la gueule, mais tout cela ne m'intéresse guerre : je crois que nous avons mérité notre repos, et je ne suis de toutes façons pas comme ça.
    Je suis à présent parfaitement calme, le mal est parti avec l'encre bleue, je me sens vide, mais dans le bon sens cette fois. Libéré, sûrement pas de toi, mais de la sensation d'échec que ces derniers mois ont engendré en moi. A présent je suis lisse comme comme une pierre bien éduquée, et plus rien ne peux me conscerner de ce que j'ai trop donné au futur. Je regarderai glisser tout cela sur une bulle de béton du haut de mon rocher.
    Alors dormons BeElle, d'un sommeil controversé mais efficace. Si tu n'es certes pas morte il y a quatre mois, alors c'est moi qui m'assassine à/devant tes yeux cette nuit.
    A notre adolescence commune fort heureuse, aux bains bleus, à Laura et à Sullian, à la nuit,
à la une, à la deux et bon vent.


Mercredi 13 décembre 2007               1H54         Bientôt Noêl...


Mercredi 12 décembre 2007 à 23:49

* Jeu, set et match.
Va te faire définitivement enculer *


[J'étais parti sur un article bien plus long, mais je n'ai même plus envie de perdre mon temps à t'écrire des choses que tu es incapable de comprendre & que tu t'es refusé à écouter. Au moins je suis certain d'être clair dans ma formulation actuelle.]

Dimanche 9 décembre 2007 à 15:11

* Y'aurait comme un semi-sanglot derrière les rires là.

J'ai encore passé un week-end à consommer des quantités exessives d'alcool.
Un quotidien fort agréable, ne vous déplaise.

Je ne cesse de m'étonner de la bêtise humaine,
De toute cette purée sensitive.
Y'a bien un moment où ça va péter dans la tête, et en dehors, si ce n'est déjà fait.
Quand le pourquoi se sent dépassé, il ne met pas longtemps à pourrir.
Vous m'avez refilé vos saloperies.

Anecdote rigolote histoire de réhausser le niveau quand même :
Jésus m'a vomi dessus pendant que je dormais.
Je vous raconterai - peut-être.

"Et si je devais vomir à mon tour, ce serait sans aucun doute notre connerie." *


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