* Marche, baisse la tête.
Combat le vide.
C'est l'histoire, vous vous souvenez ?
Et bien c'est l'histoire d'un homme qui n'a plus rien ce soir, que ses propres songes.
Entrer dans un monde, depuis quelques temps,
Trouver son bonheur dans chacune des petites choses,
S'apercevoir que face à son propre-contentement,
Il n'y a qu'un amas de gens qui semblent s'evertuer à combattre celà.
"Camille a dit "L'amour c'est de la violence gratuite"
On pourrait penser que c'est de la violence propre à l'aimant,
Chacun son business et démerdes toi,
A quoi vous sert ce sentiment ?
A vous sentir mal, démunis, pauvres face à l'absence d'un être, voire à son départ (également un bien être intense lors de la présence de l'autre ! me répondrez vous sans doute ? savourez bien votre présence entourée de petits coeurs, elle doit prendre son bus dans douze minutes),
Mais cela ne s'arrête pas là.
On se trompe : cette notion de merde apparaît même face à ceux qui s'évertuent à la combattre,
Ainsi pourra-t-elle aisément détruire une union "semi-athée",
Par la force exercée sur un des deux protagonistes,
Et cela des mois plus tard.
Quelle force, quelle magnificiance,
Quelle connerie, quelle désuétude."
Ne plus pouvoir même communiquer est une mort miniature,
Mon comportement nous a amené au suicide des sens ?
Si tu veux, si cela peut te mettre le sourire quand tu raconteras ce magnifique revirement de situation à tes copines pendant que je m'enfilerai plus d'alcool que de raison.
Je ne regretterais jamais mon action,
Car ce que je fais est juste, au moment ou je le fait.
Quel que soit mon état ou mon état d'esprit, chacune de mes actions sont régies par mon bon-sens.
Et c'est bien peu d'humilité que d'avouer cela.
Mais il est incertain que quiconque ne saisisse qu'une poussière de mon propos,
Car il est né d'un cerveau développé à son rythme, sans être poussé à la précipitation.
La plume est Maîtresse.
D'une sphère à l'autre, on peux passer du bonheur miniature à la prise de conscience de la vanité de l'état d'esprit précédent, puis au monde de l'alcool directeur d'une nouvelle sphère, celle de l'évasion, ou de l'enfermement peut-être ?
J'ai visité les deux premières sphères, mis un pied dans la troisième et attends de découvrir la dernière.
Avec l'impatience flagrante de vous laisser à votre marché noir, vous laisser vous cracher au visage et vous bouffer les ongles de pieds quand vos doigts ne ressembleront plus qu'à des moignons informes.
Je suis tellement renfermé sur moi-même que pour un peu, je ne pourrais presque plus ouvrir les yeux sur les valeurs que je m'évertue à sauvegarder : la sincérité, la simplicité, la jouissance du peu.
Le portable vibre, il est 22H57, mon interlocutrice n'a rien compris à ma façon de penser, a déformé les - rares - mots qui se voulaient suaves,
S'enferme à son tour dans des valeurs qui l'ont blessée.
Je parlais à l'instant de la sincérité ?
"C'est ma faute de A à Z, si cela peut te libérer de me l'entendre écrire,
Mais garde à l'esprit que chacune de mes actions se sont déroulées comme je le semblais bon,
Et que non, je ne regrette rien."
Comme pour une maladie quelconque, le coup de blues se soigne sans autre médicament que la nicotine et l'alcool, peut-être même (mais là je m'égare) l'écriture, qui sait ?
Je ne trouverais certes pas mieux que ce que j'ai eu,
Je savourerais alors les instants passés.
Je n'ai pas demandé grand chose ces derniers temps, des petits rien, accessibles à tous, mais l'humain est tellement déterminé - à force de douleur - à subir le plus, qu'il ne s'entend plus chuchoter le moins.
"La parole est très vite démodée, il lui suffit de deux jours pour ne plus avoir de sens"
J'ai retrouvé ça dans un tiroir, photo-anniversaire, modifiée par ma regrettée AphrOdisiaque *
Combat le vide.
C'est l'histoire, vous vous souvenez ?
Et bien c'est l'histoire d'un homme qui n'a plus rien ce soir, que ses propres songes.
Entrer dans un monde, depuis quelques temps,
Trouver son bonheur dans chacune des petites choses,
S'apercevoir que face à son propre-contentement,
Il n'y a qu'un amas de gens qui semblent s'evertuer à combattre celà.
"Camille a dit "L'amour c'est de la violence gratuite"
On pourrait penser que c'est de la violence propre à l'aimant,
Chacun son business et démerdes toi,
A quoi vous sert ce sentiment ?
A vous sentir mal, démunis, pauvres face à l'absence d'un être, voire à son départ (également un bien être intense lors de la présence de l'autre ! me répondrez vous sans doute ? savourez bien votre présence entourée de petits coeurs, elle doit prendre son bus dans douze minutes),
Mais cela ne s'arrête pas là.
On se trompe : cette notion de merde apparaît même face à ceux qui s'évertuent à la combattre,
Ainsi pourra-t-elle aisément détruire une union "semi-athée",
Par la force exercée sur un des deux protagonistes,
Et cela des mois plus tard.
Quelle force, quelle magnificiance,
Quelle connerie, quelle désuétude."
Ne plus pouvoir même communiquer est une mort miniature,
Mon comportement nous a amené au suicide des sens ?
Si tu veux, si cela peut te mettre le sourire quand tu raconteras ce magnifique revirement de situation à tes copines pendant que je m'enfilerai plus d'alcool que de raison.
Je ne regretterais jamais mon action,
Car ce que je fais est juste, au moment ou je le fait.
Quel que soit mon état ou mon état d'esprit, chacune de mes actions sont régies par mon bon-sens.
Et c'est bien peu d'humilité que d'avouer cela.
Mais il est incertain que quiconque ne saisisse qu'une poussière de mon propos,
Car il est né d'un cerveau développé à son rythme, sans être poussé à la précipitation.
La plume est Maîtresse.
D'une sphère à l'autre, on peux passer du bonheur miniature à la prise de conscience de la vanité de l'état d'esprit précédent, puis au monde de l'alcool directeur d'une nouvelle sphère, celle de l'évasion, ou de l'enfermement peut-être ?
J'ai visité les deux premières sphères, mis un pied dans la troisième et attends de découvrir la dernière.
Avec l'impatience flagrante de vous laisser à votre marché noir, vous laisser vous cracher au visage et vous bouffer les ongles de pieds quand vos doigts ne ressembleront plus qu'à des moignons informes.
Je suis tellement renfermé sur moi-même que pour un peu, je ne pourrais presque plus ouvrir les yeux sur les valeurs que je m'évertue à sauvegarder : la sincérité, la simplicité, la jouissance du peu.
Le portable vibre, il est 22H57, mon interlocutrice n'a rien compris à ma façon de penser, a déformé les - rares - mots qui se voulaient suaves,
S'enferme à son tour dans des valeurs qui l'ont blessée.
Je parlais à l'instant de la sincérité ?
"C'est ma faute de A à Z, si cela peut te libérer de me l'entendre écrire,
Mais garde à l'esprit que chacune de mes actions se sont déroulées comme je le semblais bon,
Et que non, je ne regrette rien."
Comme pour une maladie quelconque, le coup de blues se soigne sans autre médicament que la nicotine et l'alcool, peut-être même (mais là je m'égare) l'écriture, qui sait ?
Je ne trouverais certes pas mieux que ce que j'ai eu,
Je savourerais alors les instants passés.
Je n'ai pas demandé grand chose ces derniers temps, des petits rien, accessibles à tous, mais l'humain est tellement déterminé - à force de douleur - à subir le plus, qu'il ne s'entend plus chuchoter le moins.
"La parole est très vite démodée, il lui suffit de deux jours pour ne plus avoir de sens"
J'ai retrouvé ça dans un tiroir, photo-anniversaire, modifiée par ma regrettée AphrOdisiaque *
Juste MERDE. =(