* Ainsi devant mon PC, en peignoir jaune, se pose cette sempiternelle question :
Ce qui suit interessera-t-il quelqu'un ?
Les nuits que vous n'avez pas partagé avec moi pourraient-elles déclencher en vous un quelconque intérêt ?
Je crève cependant d'envie de vous raconter ces trois jours de fêtes chez Demoiselle Totoche.
Alors allons-y, et on verra qui ça passionne.
Disons qu'au pire, le plaisir que j'éprouve à l'écrire compensera la morosité d'un public endormi.
Appréciez au passage l'inspiration du titre.
Mercredi soir :
Halloween.
Première partie de soirée : Parlement, que vous commencez à vous imaginer maintenant de par mes écrits.
Félicitation à Roman et Markus pour les déguisements.
...et à Sarah pour ses efforts ?!
Ch'uis rentré par le dernier métro, et j'ai croisé ma soeur, avec qui j'ai fais route vers la maison.
J'ai eu droit à une mini-morale sur l'alcool abusif à chaques soirées.
Normal et sympathique.
Une fois partie et alors que je m'apprêtais à gagner la maison de Totoche, j'ai vu un groupe de jeun's débouler d'un coin de rue.
Ces gens étaient une demi-douzaine, et n'avaient visiblement jamais géré quelqu'un en mode "méga-bourré-limite-coma", genre je te soutiens le cadavre par le haut des épaules et je laisse la tête à 90° du reste du reste de la masse.
Ils me connaissaient brièvement, moi pas.
Mais ils m'ont amusé, alors j'ai soutenu leur cause et leur copine.
Nous l'avons -trans-portée jusque Champion, où la mère d'une camarade les attendait.
Je subodore que bien que fort jolie, elle fut un peu menteuse : si elle pesait 46kg, moi j'en faisais 69 habillé.
J'ai ensuite fait route vers la fête, accompagné de Totoche et Jérôme qui m'avaient rejoints.
Il y avait du monde, j'ai communiqué sur MSN à m'en engueuler, j'ai chanté très faux comme à l'habitude, et j'ai sûrement fait des tas d'autres trucs trop biens mais de là à m'en souvenir...
Me suis retrouvé dans "mon" lit (lit que je me suis attribué, qui appartient je dois l'avouer en vérité à son frère), et j'ai dormi comme une loque, portable, fin de bouteille et cendar à portée de main.
Jeudi soir :
Soirée raclette du club de chf'al.
Je passe donc brièvement chercher des provisions (un rosé, un tire-bouchon et mon feu), le temps de passer ma tête par la porte et de souhaiter un "bonne soirée & bon appétit" aux chevaliers, que je suis déjà aux Bancs, bouteille ouverte, seul, à attendre, calme.
Taf, gorgée, taf, gorgée...
Arrivée de Luke, puis de Léo, puis des autres.
La bouteille est terminée et ça discute dur de tout et de rien.
Arrivée 23H, je me mets en route vers la maison, où m'attendent le reste de la raclette.
J'ai faim, ch'uis éméché, ch'uis content, mon pas est légé, mon oeil humide de quiétude.
J'arrive, perçois rires et exclamations, en conclu que le repas était bien arrosé.
Je passe sous la terrasse, d'où l'on me décrète joyeusement "Oooh Sullian, ***** a pas envie de te voir!".
Chouette, welcome home little boy.
Je rentre, me rue sur la raclette.
Le massacre aurait dût être interdit à tous publics.
S'ensuit un Jungle Speed, où je m'apperçoit horrifié que Marlène est juste un peu plus rapide que moi, comme elle était juste un peu plus juste que moi à Singstar.
Je suis dépité, tente de me suicider avec une capsule, renonce et boit la bière qui était en dessous.
Les Gadjos arrivent et se posent dans le salon.
Je suis ce soir la victime perso de Totoche, et m'en prend plein la gueule pour tout, mais Bozo est de bonne humeur alors ça n'ébrêche pas sa bonne humeur.
Je crois même que j'ai été aimable avec Jeanne, les voies du Saint-Gramme sont impénétrables.
Je monte sur l'ordi, met de la bonne musique et discute avec Maud.
Longuement, avec grand intérêt semble-t-il.
De quoi ? Je n'sais.
Tout et rien au hasard ?
Alex et Marlène dansent derrière moi comme je cite, "des chiennes lubriques" ou "putes en chaleurs", je n'ai pas retenu le terme exact.
Une petite blonde que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam, vient s'assoir à côté de moi et me fait la causette en même temps.
Et là, internet me lâche.
Je tente de me pendre du haut de l'escalier avec la souris, mais renonce derechef.
Maud me textote son désarois, que je partage.
La petite blonde est à présent sur mes genoux sans que j'ai pu bien comprendre comment elle est arrivée là et me roule des paloches.
On redescend avec les autres, pis on a fait comme d'hab', parler, boire, rire, etc etc...
Pis on va se pieuter dans "mon" lit.
La suite est floue, et de toutes façons ne vous regarde pas.
Je crois juste que je suis trop sage [je vous expliquerai cette notion dans un futur article].
Je ne me souviens pas de mon endormissement et à peine de mon réveil.
Vendredi soir :
Bien nous a pris de faire le plein en bière dans l'après-midi avec un jeune homme fort délectable avec de belles petites fesses et un beau T-shirt moulant, Maxime.
Soirée plus calme aussi, moins de monde, moins d'alcool également.
On étreine le Twister que ma petite soeur et moi même avons confectionné nous même sur un vieux rideau de douche, qui roxe d'ailleurs sa race soit dit en passant, puis Jungle Speed derechef ou je perds de nouveau contre l'autre rousse.
Le temps de m'indigner du culot de certaines gens, je relâche mon portable et on se matte un bon vieux navet : La Momie.
Imhotep, tout çaaa...
Drôle, détendant, efficace.
Je fais pâle figure avec mes huit heures de sommeils des deux nuits précédentes.
Je fais promettre à Justine de passer me faire un bisou avant de partir, à 9H le lendemain, "et que je m'en souvienne surtout".
Me couche, rêve d'un Alien à cinq têtes de mort sortant du ventre du mec qui perd ses lunettes et se fait choper les yeux et la langue.
Justine passe troubler mes doux cauchemards, je me rendors deux heures.
Me lève à 11H, direction rangement de la baraque, peste contre les tapis qui rajoutent plus de poussière que t'en à enlevé.
Embrasse Totoche, rentre chez moi.
Pas de photos malheureusement de ces soirées,
Merci beElle, merci aussi à ceux qui rangent (trop rares) ainsi qu'à ceux qui ont contribué à ma bonne humeur alcoolisée.*
Ce qui suit interessera-t-il quelqu'un ?
Les nuits que vous n'avez pas partagé avec moi pourraient-elles déclencher en vous un quelconque intérêt ?
Je crève cependant d'envie de vous raconter ces trois jours de fêtes chez Demoiselle Totoche.
Alors allons-y, et on verra qui ça passionne.
Disons qu'au pire, le plaisir que j'éprouve à l'écrire compensera la morosité d'un public endormi.
Appréciez au passage l'inspiration du titre.
Mercredi soir :
Halloween.
Première partie de soirée : Parlement, que vous commencez à vous imaginer maintenant de par mes écrits.
Félicitation à Roman et Markus pour les déguisements.
...et à Sarah pour ses efforts ?!
Ch'uis rentré par le dernier métro, et j'ai croisé ma soeur, avec qui j'ai fais route vers la maison.
J'ai eu droit à une mini-morale sur l'alcool abusif à chaques soirées.
Normal et sympathique.
Une fois partie et alors que je m'apprêtais à gagner la maison de Totoche, j'ai vu un groupe de jeun's débouler d'un coin de rue.
Ces gens étaient une demi-douzaine, et n'avaient visiblement jamais géré quelqu'un en mode "méga-bourré-limite-coma", genre je te soutiens le cadavre par le haut des épaules et je laisse la tête à 90° du reste du reste de la masse.
Ils me connaissaient brièvement, moi pas.
Mais ils m'ont amusé, alors j'ai soutenu leur cause et leur copine.
Nous l'avons -trans-portée jusque Champion, où la mère d'une camarade les attendait.
Je subodore que bien que fort jolie, elle fut un peu menteuse : si elle pesait 46kg, moi j'en faisais 69 habillé.
J'ai ensuite fait route vers la fête, accompagné de Totoche et Jérôme qui m'avaient rejoints.
Il y avait du monde, j'ai communiqué sur MSN à m'en engueuler, j'ai chanté très faux comme à l'habitude, et j'ai sûrement fait des tas d'autres trucs trop biens mais de là à m'en souvenir...
Me suis retrouvé dans "mon" lit (lit que je me suis attribué, qui appartient je dois l'avouer en vérité à son frère), et j'ai dormi comme une loque, portable, fin de bouteille et cendar à portée de main.
Jeudi soir :
Soirée raclette du club de chf'al.
Je passe donc brièvement chercher des provisions (un rosé, un tire-bouchon et mon feu), le temps de passer ma tête par la porte et de souhaiter un "bonne soirée & bon appétit" aux chevaliers, que je suis déjà aux Bancs, bouteille ouverte, seul, à attendre, calme.
Taf, gorgée, taf, gorgée...
Arrivée de Luke, puis de Léo, puis des autres.
La bouteille est terminée et ça discute dur de tout et de rien.
Arrivée 23H, je me mets en route vers la maison, où m'attendent le reste de la raclette.
J'ai faim, ch'uis éméché, ch'uis content, mon pas est légé, mon oeil humide de quiétude.
J'arrive, perçois rires et exclamations, en conclu que le repas était bien arrosé.
Je passe sous la terrasse, d'où l'on me décrète joyeusement "Oooh Sullian, ***** a pas envie de te voir!".
Chouette, welcome home little boy.
Je rentre, me rue sur la raclette.
Le massacre aurait dût être interdit à tous publics.
S'ensuit un Jungle Speed, où je m'apperçoit horrifié que Marlène est juste un peu plus rapide que moi, comme elle était juste un peu plus juste que moi à Singstar.
Je suis dépité, tente de me suicider avec une capsule, renonce et boit la bière qui était en dessous.
Les Gadjos arrivent et se posent dans le salon.
Je suis ce soir la victime perso de Totoche, et m'en prend plein la gueule pour tout, mais Bozo est de bonne humeur alors ça n'ébrêche pas sa bonne humeur.
Je crois même que j'ai été aimable avec Jeanne, les voies du Saint-Gramme sont impénétrables.
Je monte sur l'ordi, met de la bonne musique et discute avec Maud.
Longuement, avec grand intérêt semble-t-il.
De quoi ? Je n'sais.
Tout et rien au hasard ?
Alex et Marlène dansent derrière moi comme je cite, "des chiennes lubriques" ou "putes en chaleurs", je n'ai pas retenu le terme exact.
Une petite blonde que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam, vient s'assoir à côté de moi et me fait la causette en même temps.
Et là, internet me lâche.
Je tente de me pendre du haut de l'escalier avec la souris, mais renonce derechef.
Maud me textote son désarois, que je partage.
La petite blonde est à présent sur mes genoux sans que j'ai pu bien comprendre comment elle est arrivée là et me roule des paloches.
On redescend avec les autres, pis on a fait comme d'hab', parler, boire, rire, etc etc...
Pis on va se pieuter dans "mon" lit.
La suite est floue, et de toutes façons ne vous regarde pas.
Je crois juste que je suis trop sage [je vous expliquerai cette notion dans un futur article].
Je ne me souviens pas de mon endormissement et à peine de mon réveil.
Vendredi soir :
Bien nous a pris de faire le plein en bière dans l'après-midi avec un jeune homme fort délectable avec de belles petites fesses et un beau T-shirt moulant, Maxime.
Soirée plus calme aussi, moins de monde, moins d'alcool également.
On étreine le Twister que ma petite soeur et moi même avons confectionné nous même sur un vieux rideau de douche, qui roxe d'ailleurs sa race soit dit en passant, puis Jungle Speed derechef ou je perds de nouveau contre l'autre rousse.
Le temps de m'indigner du culot de certaines gens, je relâche mon portable et on se matte un bon vieux navet : La Momie.
Imhotep, tout çaaa...
Drôle, détendant, efficace.
Je fais pâle figure avec mes huit heures de sommeils des deux nuits précédentes.
Je fais promettre à Justine de passer me faire un bisou avant de partir, à 9H le lendemain, "et que je m'en souvienne surtout".
Me couche, rêve d'un Alien à cinq têtes de mort sortant du ventre du mec qui perd ses lunettes et se fait choper les yeux et la langue.
Justine passe troubler mes doux cauchemards, je me rendors deux heures.
Me lève à 11H, direction rangement de la baraque, peste contre les tapis qui rajoutent plus de poussière que t'en à enlevé.
Embrasse Totoche, rentre chez moi.
Pas de photos malheureusement de ces soirées,
Merci beElle, merci aussi à ceux qui rangent (trop rares) ainsi qu'à ceux qui ont contribué à ma bonne humeur alcoolisée.*
Non, pas la peine de s'énerver, il n'y a plus rien à dire.